Point après la première semaine

Pour commencer, merci à ceux qui ont repartagé et contribué à visibiliser le site.

Progression

À l'issue de cette première semaine, le site a totalisé 212 visiteurs uniques.
Les premières sources d'arrivée sur le site sont LinkedIn et Facebook.

La pétition sur le site de l'assemblée nationale a obtenu 14 signatures
Celle sur change.org en a reçu 8.

Améliorations

Les premiers retours ont permis de préciser certaines réponses aux objections et, surtout, d'en rajouter une, peut être la plus importante.
En effet, les objections initiales se focalisaient sur les raisons pour lesquelles la proposition d'Article 33 pourrait être mauvaise. Mais une part significative des gens peuvent penser que la proposition n'est pas spécialement mauvaise mais plutôt inutile car elle adresse un problème qui n'est pas important.

J'ai donc rajouté, tout en haut de la liste, l'objection "Notre constitution est très bien, il n'y a pas de raison de la modifier. Que son dernier plébiscite date de 1958 n'est pas un vrai problème" où je prends le temps d'expliquer pourquoi le fait que 98% des français n'ont jamais approuvé la constitution est un vrai risque pour la société et que cela appelle une solution.

On m'a fait part de l'utilité d'un espace où les gens pourraient exprimer leur avis et ainsi contribuer à ajouter des objections ou des arguments pour répondre aux objections déjà présentes (merci Yann).
J'ai donc créé ce forum qui me servira également pour publiciser l'avancé du projet.

Prévisions

Les résultats de la première semaine sont corrects. Le but n'était pas d'exploser tous les compteurs mais de tester l'idée auprès d'un cercle proche. Ainsi les défauts les plus évidents peuvent être corrigés avant que le site ne soit exposé à un public plus large.
Quelques personnes sont venues me parler plusieurs jours après la publication initiale pour me dire qu'elles avaient enfin pris le temps de lire le site, qu'elles avaient aimé et ont repartagé. Il y a donc une certaine inertie entre une publication et le maximum de visibilité qu'elle pourra atteindre. Et c'est très bien comme ça, il est sain que les gens prennent le temps de lire et de se faire un avis avant de décider s'ils veulent repartager.

Les prochaines étapes vont consister à essayer de toucher un public plus large via le bouche à oreille et la mobilisation de cercles d'influence de mon entourage.
Parallèlement, je vais augmenter la visibilité : création d'une chaine youtube, d'un compte instagram, tiktok, etc. Et je prévois de la création de vidéos courtes pour rendre le message accessible depuis tous les types de consommateur de contenu (vidéo, texte, podcast, ...).
Idéalement j'aimerais favoriser la communication depuis les pages facebook et le compte twitter plutôt que depuis mon compte perso. En effet, je ne veux pas que les gens regardent le messager au lieu du message (l'ethos au lieu du logos) et qu'ils soutiennent ou rejettent la proposition d'après leur alignement/opposition politique avec moi. Normalement cette proposition est relativement agnostique d'une polarité politique particulière (du moment qu'on est pour un gouvernement démocratique).

L'objectif principal de la première phase du projet est d'obtenir 10 000 signatures, d'ici 6 mois, sur la plateforme de pétition de l'assemblée nationale. En cas d'échec la petition sera archivée et n'ira pas plus loin.
Il est vraisemblable que cet objectif ne soit pas atteint. C'est pour cette raison qu'il y a aussi la pétition sur change.org, car cette dernière n'expirera jamais (il y aura donc un témoignage permanent du nombre de personnes qui soutiennent le projet).
Toutefois, la réussite de cet objectif n'est pas déterminante. Ce serait un plus non négligeable, mais le gros de la cible ce sont les parlementaires. Ce sont les seuls qui auront, en définitive, la capacité de voter la proposition d'Article 33.

L'objectif a plus long terme est donc de récolter assez de preuves que la proposition est populaire (via les pétitions, le nombre de followers, de like, etc.) et transpartisane (sondage, analyse des influenceurs qui ont propagé, ...) pour montrer aux parlementaires que défendre cette proposition répondra à une aspiration de leurs électeurs.

À bientôt

Constitutionnellement,

Votre serviteur